SIGEST

2025
EAN 9782376040866
148 x 210 mm
112 p.
Ne meurent que les pleutres
Artsakh-Arménie, 2021-2024
15 €
À paraître

 

Cet opuscule de combat a été rédigé entre avril 2021 et décembre 2024, à savoir la période chaotique qui s’étend de la mutilation de l’Artsakh, consécutive à la guerre de l’automne 2020, à l’année qui suit son annihilation pure et simple par le duo génocidaire turco-azéri. L’époque est aussi marquée par le grignotage du territoire souverain de la République d’Arménie par le régime criminel de Bakou. Il n’y aura JAMAIS de paix avec ceux dont la raison de vivre est de vous exterminer jusqu’au dernier et, côté arménien, seuls les imbéciles et/ou les traîtres continuent de pérorer le contraire. L’Arménie doit cesser de chercher une chimérique et dégradante protection extérieure – ce qui n’exclut pas des alliances fondées sur des intérêts communs – pour ne compter que sur ses propres forces. Les Arméniens doivent urgemment se surarmer pour se muer en une armée-nation qui quadrille un pays-forteresse.

Mais ce combat de l’Arménie concerne aussi la France qui, depuis François Ier, s’est fourvoyée dans une alliance contre-nature avec la Turquie sans jamais en retirer un réel bénéfice. Les relations internationales représentent un univers de carnivores au sein duquel le droit international public ou les droits de l’homme ne sont que des supercheries. Notre pays qui reste une puissance nucléaire doit regagner sa souveraineté pour enfin défendre ses intérêts en menant une realpolitik implacable. Pour cela, il doit se libérer des griffes de l’oligarchie mondialiste qui travaille à l’anéantissement des nations occidentales et, plus généralement, chrétiennes. Si la destruction de l’Arménie par les Turco-azéris pouvait être profitable à la France et bien, tant pis pour les Arméniens ! Mais, c’est précisément l’inverse, car aujourd’hui, la Turquie et l’Azerbaïdjan menacent tout autant l’Arménie que la France. Simplement, le danger du panturquisme néo-ottoman est plus immédiat pour la première que pour la seconde. Dès lors, il serait de notre intérêt de soutenir l’Arménie, y compris militairement. Le quart de l’armement que la France a fourni à l’Ukraine, alliée proche de l’Azerbaïdjan, serait autrement mieux employé en faveur des Arméniens, car d’un bout à l’autre de la chrétienté européenne – ou du moins ce qu’il en reste –, le danger mortel de l’islamo-panturquisme travaille à la ruine de notre commune civilisation.

Ne meurent que les pleutres

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