SIGEST

2024
EAN 9782376040774
148 x 210 mm
216 p.
Dieu n’a pas béni l’Amérique !
Les mauvaises manières d’un empire en perdition
19.95 €
Disponible

 

Pays à l’ambition démesurée née de la certitude de ses premiers habitants de détenir une destinée manifeste et d’être le nouveau peuple élu, les États-Unis ont imposé progressivement leur loi et leur démesure à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale et surtout après l’effondrement de l’URSS. Croyant désormais ne plus avoir d’adversaire à leur dimension, ils ont provoqué guerre sur guerre, créant partout un chaos succédané de la victoire. Cette hégémonie est aujourd’hui de plus en plus récusée.

Le dollar est fragilisé, l’efficacité de l’armée est déclinante. La population est minée par le communautarisme et toutes sortes de maux dont la drogue, la violence, la mauvaise santé générale et le racisme. Les Blancs deviennent minoritaires. Les méthodes de ce pays révoltent. Pillage industriel et intellectuel, opérations de déstabilisation par la CIA et lois extraterritoriales choquent ceux qui les subissent.

Aussi de plus en plus de pays se réunissent autour de la Chine et de la Russie pour mettre un terme à cette dangereuse hégémonie. Seule l’UE reste intimement subordonnée aux États-Unis et à leur outil militaire, l’OTAN. Ses dirigeants, aveugles sur le monde nouveau, ou collaborateurs délibérés, cherchent à imiter un pays qui les entraîne pourtant vers la décadence.

Dans ce contexte il est grand temps que la France retrouve sa souveraineté. Le rêve américain est sur le point de devenir le cauchemar américain.

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*** Commentaires

J’ai été enthousiaste du début à la fin de ce livre. Un implacable plaidoyer contre ce pays malfaisant. Mille merci mon Général pour votre ouvrage que je ne manquerai pas d’offrir à tous mes amis qui n’ont pas conscience que notre France s’écroule à cause d’un mal clairement identifié. 

Gilbert Granaud

 

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Les Américains sont les premières victimes de l’échec de la démocratie en Amérique puisque tel aurait pu être le titre de l’ouvrage que Tocqueville écrirait aujourd’hui.
Sans doute faut-il y voir la place prise par la réserve fédérale fondée en 1913 réunissant des banquiers, des financiers, c’est-à-dire une privatisation des intérêts économiques et financiers des Américains dans l’origine de cet échec.
C’est pourquoi, l’ouvrage du Général Henri Roure établit d’une façon magistrale le constat de l’agonie d’un système.
Sans doute est-ce le prix que Dieu entend faire payer à ceux qui ont commis le génocide des Indiens, un crime contre l’humanité à Hiroshima et à Nagasaki, le bombardement des populations civiles au cours de la dernière guerre en Europe et l’utilisation du napalm et des produits chimiques au Viêtnam répandus sur des populations civiles.
En réalité, cet ouvrage Dieu n’a pas béni l’Amérique – Les mauvaises manières d’un empire en perdition est plus qu’un constat, c’est un véritable réquisitoire contre ceux, qui dans la plus grande opacité, ont orchestré la mise en œuvre de cette barbarie preuve magistrale de la décadence de cet empire.
C’est pourquoi l’ouvrage du Général Roure rejoindra, sur les toutes premières places, les annales de l’histoire du XX:e siècle.

Roland Sanviti

Dieu n’a pas béni l’Amérique !

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