Après le succès de son premier tome de « Les raisons cachées du désordre mondial », qui continue à caracoler dans les meilleures ventes chez les librairies en ligne comme lalibrairie.com, Amazon.fr ou Fnac.com… Valérie Bugault revient avec le tome II.
Les institutions françaises sont faussement démocratiques car adossées à une prétendue « représentation du peuple » par des « élus » aux seuls services des financiers qui permettent à leur parti politique de les présenter aux élections. Au surplus, la prétendue séparation des pouvoirs, qui se garde bien de mentionner le seul moyen du pouvoir, celui de la création monétaire (laquelle est intégralement contrôlée par les banquiers privés) n’a jamais été pertinente.
Ces institutions faussement démocratiques ne sont pas l’apanage de la France car elles se sont répandues dans tous les pays occidentaux, dits civilisés et en réalité soumis à la Haute finance apatride dont le Quartier Général historique est situé à la City of London.
Le modèle commercial et maritime développé par l’Empire britannique a utilisé toutes les armes à sa disposition pour prévenir toute opposition. Suivant leur volonté hégémonique, les puissances financières ont imposé au monde, en tant que modèle indépassable, son « droit », qui n’est autre qu’un intégrisme commercial caché derrière la généralisation de l’anonymat, permettant l’irresponsabilité. Pour favoriser leur développement, les tenanciers de la Haute Finance ont perfidement utilisé le concept de « Soft Law », qui met en œuvre la séduction des masses, la ruse et la corruption pour imposer des règles qui n’ont rien de « Soft » mais qui sont, tout au contraire, à l’origine de toutes les guerres récentes, qui visent au contrôle intégral des richesses créées par l’homme et des ressources naturelles présentes sur la planète.
Peu à peu, le modèle juridique propre au droit continental, qui a permis le développement d’une « civilisation européenne » a été liquidé au profit du tout commerce imposé par les tenanciers de la Haute Finance internationale, promoteur du Nouvel Ordre Mondial. Cet Ordre, réel désordre, n’a rien de nouveau, il est l’officialisation institutionnelle de la prise de pouvoir hégémonique des puissances financières sur les États et sur le concept même de « politique ». Le long glissement qui a fait passer l’Europe du « fait politique » au « fait économique » est devenu officiel avec l’avènement des institutions européennes dont l’histoire, née sous le signe des cartels, a immanquablement évolué vers un intégrisme commercial et financier de type fédéral.
Ces partisans du Nouvel Ordre Mondial ont prévu, pour nous, un avenir dans lequel la liberté, y compris celle de ressentir des émotions individuelles et celle consistant à avoir une capacité de libre discernement, ne sera plus qu’un lointain souvenir. Les populations continueront-elles à être dupes de leur propre mise en esclavage ?
Disponible aussi en version digitale (Kobo ou Kindle)